mercredi 1 janvier 2014
dimanche 6 novembre 2011
samedi 24 septembre 2011
Les années d'avant le portable et plus
mardi 15 mars 2011
Aie aie aie , c'est la catta !!!
Mon frère "chéri" et tout et tout,
qui devait arriver le 21 après son opération à Paris,
débarque ce soir gare TGV, à 22h30,
opération reculée au 24 :
hors sa chambre
(accessoirement mon atelier dépotoir :lol:=
en chantier !!!
C'est la bérésina !!!
La montée d'escalier aussi,
J'étais entrain d'y faire des aménagements ...
je me demande où je vais bien pouvoir le caser,
c'est que cela tient un minimum de place,
ces bébêtes là ...
je ne peux pas l'accrocher
sur un cintre tout de même ... :lol:
Oh la la c'est la catta ...
Saint Rangement,
priez pour moi :lol:
dimanche 13 février 2011
Les gitans, en hommage aux blogs de Maguy
Ils sont le peuple de la joie,
des couleurs et de la musique,
du paranormal du rêve et de la "magie".
Ils ont l’esprit de clan, mystérieux voyageurs.
Oh oui ils dérangent,
leur mauvaises réputations est dû qu’autrefois,
il était facile de les accuser des méfaits
que l’on commettait soi-même.
Ainsi le maréchal des logis n’allait pas chercher plus loin
et le vrai coupable le voisin sans doute,
n’était pas inquiété …
Qu’il y ait eu des voleurs de poules
ou des brigands dans le lot,
Des criminels et des assassins, c’est certain,
mais pas plus que dans les autres populations locales.
Ce qui dérange c’est l’incompréhension du mode de vie,
le manque de recul, et surtout notre inculture,
une mauvaise expérience aussi,
peut nous rendre irrationnel.
Moi, par exemple, j’ai eu des voisins portugais.
Odieux, menteurs, irrespectueux …
depuis j’ai gardé un instinctif recul envers les portugais,
le racisme commence souvent par une mauvaise expérience,
une colère ou une peur …
Je suis sure que 5 % seulement de portugais
ressemblent à mes indésirables,
mais cela malgré la réflexion,
à laisser une méfiance dans mes réactions …
J’avais envie d’offrir ce petit post à Maguy,
Qui nous fait partager et connaitre son univers.
J'aurais aimé faire partie de ce peuple,
Merci Maguy.
jeudi 10 février 2011
dimanche 6 février 2011
Une nuit au Prieuré
Il y a bien longtemps,
mon fils alors avait
entre trois et cinq ans,
je fis un séminaire à l’hôtel du prieuré,
à Paray le Monial,
dans le charolais.
La nuit, nous fûmes invités
à prendre
une heure de méditation
en silence à la chapelle.
Je dormais dans une chambre avec des lits jumeaux,
Et à deux heures du matin,
je quittais le confort douillet de mon sac de couchage,
mon petit garçon tranquillement endormi dans le sien.
Je descendis à la chapelle, située au premier étage.
Une heure plus tard, je regagnais pénates.
Pour ne pas faire de bruit,
comme à l'aller, je remontais par les escaliers.
Arrivée dans ma chambre,
mon duvet jonchait à même le carrelage,
je me souviens en avoir été contrariée …
-« Quelqu’un était-il rentré dans notre chambre ? » -
Puis je m’allongeais dans le sac de couchage,
Et malgré la pénombre
je jetais un regard sur mon fils endormi,
et là, le choc.
La silhouette fluette que je m’attendais à voir,
s’était transformée en une masse de 80 kilogs au moins,
elle avoisinait le mètre 85 sans aucun doute.
C’est alors que, mes yeux s’étant habitués à l’obscurité,
je remarquais la barbe sur le visage informe !
Un ronflement sonore s’échappant de la bouche entrouverte,
vint confirmer l’horrible vérité …
Mais où était donc passé mon fils …
Car à moins de m'être acoquinée
avec un extra terrestre,
et qu'il y ait eu mutation violente ...
M’étais-je trompée de chambre ?
Je bondis silencieusement hors de mon lit,
et me précipitais dans le couloir
Afin de vérifier le numéro sur la porte …
Non, c’était bien la chambre quatorze,
comme le confirmaient le numéro gravé ,
ainsi que le bracelet élastique à mon poignet.
J’étais complètement anéantie,
c'était la bonne chambre
Mais alors où était mon fils …
et que faisait ce barbu dans son lit
Je ressortis sur le palier, vers l'ascenseur
me demandant ce que je devais faire,
je croisais alors un couple,
qui montait à l’étage du dessus,
et que je savais être mes voisins de chambrées,
au même niveau que moi …
§§§ OUPS §§§
Prise d’un fou-rire silencieux et incoercible,
comprenant que je m’étais trompée d’étage,
je regagnais pénates , fiston et duvet .
Wilfried dormait comme un ange dans la chambre 314,
Mais moi j’ai ri pendant des heures,
imaginant la tête de l’épouse,
Remontant de la chapelle
Me trouvant dans son lit !